Edward Hopper
1882 (Nyack (USA)) / 1967 (New York)
Hopper est le peintre de la nature urbanisée, des petites villes de vacances, des lieux aux architectures typiques qui mêlent façades victoriennes ou néo-gothiques, des stations d’essence, des préfabriqués, des bungalows, des marines, des jardins, tous ces ensembles dont le cadrage singulier est sa marque de fabrique. Métro, boulot, dodo : bureaux, bars, compartiments de train, chambres d’hôtel révèlent à partir du réel quotidien une inquiétude et une angoisse où se décèlent la solitude des êtres, leur difficulté à partager un instant de vie, à communiquer, tout comme l’artiste avec Joe, sa femme, sa muse, modèle et martyr.
Hopper est le peintre de la nature urbanisée, des petites villes de vacances, des lieux aux architectures typiques qui mêlent façades victoriennes ou néo-gothiques, des stations d’essence, des préfabriqués, des bungalows, des marines, des jardins, tous ces ensembles dont le cadrage singulier est sa marque de fabrique. Métro, boulot, dodo : bureaux, bars, compartiments de train, chambres d’hôtel révèlent à partir du réel quotidien une inquiétude et une angoisse où se décèlent la solitude des êtres, leur difficulté à partager un instant de vie, à communiquer, tout comme l’artiste avec Joe, sa femme, sa muse, modèle et martyr.