Aurélien Bory
1972 (Colmar)
Living in : Toulouse
Working in : A l'International
S’il avoue une totale fascination pour Pina Bausch, « figure absolue de l’art, celle qui incarne la chose profonde », et s’il admire chez Romeo Castellucci la cohérence qui vise à la quintessence de son œuvre, Aurélien Bory n’a pris possession de la scène comme espace plastique qu’au terme d’un itinéraire acrobatique. Après des études de physique et un premier travail dans un bureau d’études d’acoustique architecturale, il croit rompre avec la science en devenant jongleur au Centre des arts du cirque à Toulouse puis acteur au Théâtre Tattoo de Mladen Materi?. Mais si le principe de l’être – selon Schopenhauer – est mathématique, on n’échappe pas si facilement à l’art combinatoire de l’antigéométrie. Son art de l’espace, le Français l’a ensuite patiemment construit en tirant des lignes dans toutes les disciplines, le cirque, la danse, les arts plastiques et maintenant l’opéra.
©aglae Bory
Living in : Toulouse
Working in : A l'International
S’il avoue une totale fascination pour Pina Bausch, « figure absolue de l’art, celle qui incarne la chose profonde », et s’il admire chez Romeo Castellucci la cohérence qui vise à la quintessence de son œuvre, Aurélien Bory n’a pris possession de la scène comme espace plastique qu’au terme d’un itinéraire acrobatique. Après des études de physique et un premier travail dans un bureau d’études d’acoustique architecturale, il croit rompre avec la science en devenant jongleur au Centre des arts du cirque à Toulouse puis acteur au Théâtre Tattoo de Mladen Materi?. Mais si le principe de l’être – selon Schopenhauer – est mathématique, on n’échappe pas si facilement à l’art combinatoire de l’antigéométrie. Son art de l’espace, le Français l’a ensuite patiemment construit en tirant des lignes dans toutes les disciplines, le cirque, la danse, les arts plastiques et maintenant l’opéra.
©aglae Bory