Jérôme Zonder
1974 (Paris)
Vit à : Paris
Travaille à : Paris
Galerie de l'artiste
Des scènes étranges, parfois insoutenables, des figures souvent inquiétantes, des corps volontiers délités : la violence est à l’œuvre chez Jérôme Zonder comme vecteur de sélection des sujets qu’il traite et de détermination du rapport à leur matérialisation. Le corps, la question de sa représentation, la difficulté du figurable, l’expression du mémoriel l’ont entraîné au fil du temps à aborder le dessin par rapport à des questions tant de pratique que d’exposition. La violence, c’est celle de la grande et de la petite histoire, des jeux d’enfants mimant les adultes, de la Shoah, d’Hiroshima, du Rwanda, bref de tous les drames et de toutes les fêlures d’une humanité à la dérive. En quête de « la première image », comme il le dit, Jérôme Zonder fait le choix scénographique d’accaparer l’espace tous azimuts. Comme une invitation à entrer dans les entrailles mêmes du dessin et à déambuler dans les diverticules de sa pensée.
Vit à : Paris
Travaille à : Paris
Galerie de l'artiste
Des scènes étranges, parfois insoutenables, des figures souvent inquiétantes, des corps volontiers délités : la violence est à l’œuvre chez Jérôme Zonder comme vecteur de sélection des sujets qu’il traite et de détermination du rapport à leur matérialisation. Le corps, la question de sa représentation, la difficulté du figurable, l’expression du mémoriel l’ont entraîné au fil du temps à aborder le dessin par rapport à des questions tant de pratique que d’exposition. La violence, c’est celle de la grande et de la petite histoire, des jeux d’enfants mimant les adultes, de la Shoah, d’Hiroshima, du Rwanda, bref de tous les drames et de toutes les fêlures d’une humanité à la dérive. En quête de « la première image », comme il le dit, Jérôme Zonder fait le choix scénographique d’accaparer l’espace tous azimuts. Comme une invitation à entrer dans les entrailles mêmes du dessin et à déambuler dans les diverticules de sa pensée.