Yu-Ichi Inoue
1916 (Tokyo) / 1985 (Tokyo)
Représentant, avec Shiryû Morita, de la calligraphie contemporaine japonaise, Yu-Ichi Inoue a transformé cet art né en Chine il y a plus de trois mille ans, où les premiers idéogrammes retrouvés sur des carapaces de tortues possédaient une fonction religieuse, à savoir d’émettre des oracles. Si par la suite sont nés différents styles d’écriture dont l’écriture cursive définie avec le caractère « herbe », le Japon a hérité de cette tradition à la suite de l’adoption des idéogrammes chinois tout en offrant certaines particularités comme l’écriture en kanas (les deux syllabaires utilisés dans la langue japonaise). À l'image de Yu-Ichi Inoue, reproduire les caractères tels que les maîtres les avaient écrits reste une méthode encore d’actualité de nos jours.
Portrait : Yu-ichi Inoue, © UNAC TOKYO / photo: Tokio Ito
Représentant, avec Shiryû Morita, de la calligraphie contemporaine japonaise, Yu-Ichi Inoue a transformé cet art né en Chine il y a plus de trois mille ans, où les premiers idéogrammes retrouvés sur des carapaces de tortues possédaient une fonction religieuse, à savoir d’émettre des oracles. Si par la suite sont nés différents styles d’écriture dont l’écriture cursive définie avec le caractère « herbe », le Japon a hérité de cette tradition à la suite de l’adoption des idéogrammes chinois tout en offrant certaines particularités comme l’écriture en kanas (les deux syllabaires utilisés dans la langue japonaise). À l'image de Yu-Ichi Inoue, reproduire les caractères tels que les maîtres les avaient écrits reste une méthode encore d’actualité de nos jours.
Portrait : Yu-ichi Inoue, © UNAC TOKYO / photo: Tokio Ito
Ses expositions
Yu-Ichi Inoue (1916-1985). La calligraphie libérée
29/09/2018 - 17/12/2018(Albi) Musée Toulouse-Lautrec