Nabil Boutros
1954 (Le Caire)
Vit à : Paris et Le Caire
Travaille à : Paris et Le Caire
Site de l'artiste
Les photographies de Nabil Boutros naissent à la croisée des chemins. Entre Orient et Occident. Ailleurs et maintenant. Tel un origami japonais, ces fleurs de papier se déploient en mille perspectives où circule le regard. Comme s’ouvrent et se ferment les vérités. Religieuses, politiques ou sociales. Multiples et instables. Elles résistent à la simplification du médiatique et du spectaculaire. Parce qu’elles ne se consomment pas ces chairs d’image. Parce qu’elles ne sont pas lisses. Elles ont la peau clair-obscur, et le grain un peu flou. Elles attirent et résistent, comme un corps qui se donne puis soudain se retire. Portant les rides de l’Histoire, comme un visage elles se regardent : en profondeur ou en surface, de loin ou en détails. Mais toujours elles interrogent ou perdent dans leur nuit. Et comme le gout d’un baiser, jamais elles ne s’oublient. Parce qu’elles demeurent, leurs lumières, tel un éclat de couleur. Enfouies quelque part, au grenier du regard.
Vit à : Paris et Le Caire
Travaille à : Paris et Le Caire
Site de l'artiste
Les photographies de Nabil Boutros naissent à la croisée des chemins. Entre Orient et Occident. Ailleurs et maintenant. Tel un origami japonais, ces fleurs de papier se déploient en mille perspectives où circule le regard. Comme s’ouvrent et se ferment les vérités. Religieuses, politiques ou sociales. Multiples et instables. Elles résistent à la simplification du médiatique et du spectaculaire. Parce qu’elles ne se consomment pas ces chairs d’image. Parce qu’elles ne sont pas lisses. Elles ont la peau clair-obscur, et le grain un peu flou. Elles attirent et résistent, comme un corps qui se donne puis soudain se retire. Portant les rides de l’Histoire, comme un visage elles se regardent : en profondeur ou en surface, de loin ou en détails. Mais toujours elles interrogent ou perdent dans leur nuit. Et comme le gout d’un baiser, jamais elles ne s’oublient. Parce qu’elles demeurent, leurs lumières, tel un éclat de couleur. Enfouies quelque part, au grenier du regard.
Ses expositions
36/36 Les artistes fêtent les 80 ans des congés payés
17/06/2016 - 10/09/2016(Paris) Assemblée Nationale
Nabil Boutros – C’est l’usine !
27/09/2013 - 16/02/2014(Saint-Ouen) Espace 1789
Traversées
16/05/2009 - 16/06/2009(Rabat) Galeries Bab Rouah et Bab El Kébir
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