BIAC Martinique
L'exposition
Johanna Auguiac-Célénice : À Fort-de-France se trouve le pavillon qui regroupe dix plasticiens vivant et travaillant en Martinique. Pour cette exposition collective, commissionnée par Holly Bynoe, pratiquement toutes les œuvres sont nouvelles et envahissent complètement l’Atrium, où elles sont exposées. Des pièces seront visibles dans les salles mais aussi suspendue au plafond des halles : un volcan renversé d’Hervé Beuze et une installation interactive de David Gumbs. Sur l’esplanade, on trouvera une installation monumentale de Christian Bertin. Dans l’une des salles d’exposition, se tiendra un duo inattendu de Sentier et de Bruno Pédurand quand dans l’autre espace, nous retrouverons Shirley Rufin, Jean-Luc de Laguarigue, Elizabeth Colomba, Raymond Médélice, Gilles Elie Dit Cosaque.
Le pavillon international nous emmène dans le nord de l’île sous le commissariat de Tumelo Mosaka. Fort d’une superficie de 2400 m2, ce pavillon accueille sculptures, peintures, gravures, dessins, installations, vidéos et même une salle de projection de films d’art et d’essai. Les artistes de la Martinique et de la Caraïbe y sont rejoints par des artistes du monde entier, de l’Amérique Latine, en passant par l’Asie, d’Afrique, d’Europe et de l’Amérique du Nord. Pour ne citer que quelque uns, nous attendons John Beadle, Tiong Ang, Mario Benjamin, Charles Campbell, Florine Demosthene, Lalla Essaydi, Mary Evans, Thierry Alet, Mirtho Linguet, Susana Pilar Delahante Matienzo, Ledelle Moe, René Pena, Shoshanna Weinberger, Nyugen E. Smith, Eddy Firmin, Deborah Grant, Remy Jungerman… et une programmation de films avec Michelange Quay, Moussa Touré, John Akomfrah pour ne citer que eux. L’articulation entre les deux pavillons est constituée par le tournant mondial qu’a permis le mouvement de la négritude pour s’étendre sur l’ensemble de la planète et ses imaginaires, tout en innovant et en s’actualisant. Y sont présents, de l’éclatement à la rencontre universelle, les questionnements autour de l’identité culturelle et de sa représentation autant que de l’appartenance…
Extrait de l'entretien entre Johanna Auguiac-Célénice, organisatrice de la BIAC 2013, et Tom Laurent, publié dans le N°56 de la revue Art Absolument: parution le 6 novembre 2013
Le pavillon international nous emmène dans le nord de l’île sous le commissariat de Tumelo Mosaka. Fort d’une superficie de 2400 m2, ce pavillon accueille sculptures, peintures, gravures, dessins, installations, vidéos et même une salle de projection de films d’art et d’essai. Les artistes de la Martinique et de la Caraïbe y sont rejoints par des artistes du monde entier, de l’Amérique Latine, en passant par l’Asie, d’Afrique, d’Europe et de l’Amérique du Nord. Pour ne citer que quelque uns, nous attendons John Beadle, Tiong Ang, Mario Benjamin, Charles Campbell, Florine Demosthene, Lalla Essaydi, Mary Evans, Thierry Alet, Mirtho Linguet, Susana Pilar Delahante Matienzo, Ledelle Moe, René Pena, Shoshanna Weinberger, Nyugen E. Smith, Eddy Firmin, Deborah Grant, Remy Jungerman… et une programmation de films avec Michelange Quay, Moussa Touré, John Akomfrah pour ne citer que eux. L’articulation entre les deux pavillons est constituée par le tournant mondial qu’a permis le mouvement de la négritude pour s’étendre sur l’ensemble de la planète et ses imaginaires, tout en innovant et en s’actualisant. Y sont présents, de l’éclatement à la rencontre universelle, les questionnements autour de l’identité culturelle et de sa représentation autant que de l’appartenance…
Extrait de l'entretien entre Johanna Auguiac-Célénice, organisatrice de la BIAC 2013, et Tom Laurent, publié dans le N°56 de la revue Art Absolument: parution le 6 novembre 2013
Quand
22/11/2013 - 15/01/2014
